VERLEIHUNG DER KABARETTEHRENPREISES DER KREFELDER KRÄHE
Samstag, 29. April, 2023, 19:00 im Krefelder Theater
KREFELDER KABARETTPREIS - DIE NEUE KRÄHE IST EIN ETTL -MODELL
Krefeld - Wenn Matthias richling am 29. April die Krefelder Krähe erhält, hat er einen besonderen Vogel in der Hand: die erste Ettl-Krähe. Warum ein neuer Vogeltyp nötig war und wer ihn kaufen kann.
von Petra Diedrichs
( ) Matthias Richling bekommt die erste Krähe. Doch es ist nicht nur seine erste Auszeichnung mit dem Krefelder Kabarettpreis der Krähen, es ist auch ein ganz neuer Vogeltyp. Es ist eine Ettl-Krähe, die am 29. April in einer Galaveranstaltung im Theater verliehen wird.
Bisher war jeder Preisträger mit einem Keramik-Unikat von Florian Noever bedacht worden. Nach dessen plötzlichem Tod musste "ein angemessener Ersatz gefunden werden", wie Krähenmanager Phillip Schmitz berichtet. "15 Krähen wurden von Florian Noever seit dem Beginn des Wettbewerbs um die Krefelder Krähe in 2005 geschaffen.
Florian Noever gebührt hierfür grosser Dank."
Die neue Krähe ist der "Stab-Krähe" aus dem Krähen-Zaun von Georg Ettl am Kaiser-Wilhelm-Museum entlehnt. Krähen-Gründungsvater Jochen Butz hatte die Idee, sich an renatae Ettl zu wenden, die Tochter des 2014 verstorbenen Künstlers, dessen Atelier sie weiterführt. Sie "hat spontan ihre grosszügige Unterstützung zugesichert", so Schmitz. Die neue Krähe entstammt dem Entwurf von Georg Ettl, Renatae Ettl hat sie als Preisskulptur angepasst. Und sie wird auch persönlich die erste Trophäe an Matthias Richling überreichen.
Georg Ettl war Minimalist, arbeitete aber in vielen Bereichen und vielen verschiedenen Materialien - oft auch für den öffentlichen Raum. Er hat Innenräume von Kirchen und öffentlichen Gebäuden gestaltet, schuf Kirchenfenster und bemalte die Arkaden des Innenhofs eines der Schlösser an der Loire und gestaltete 1991 den Innenhof des KWM. Um den Raum zu öffnen, ersetzte er die Wände durch einen von Krähen überzogenen Zaun.
EXPOSITION EXCEPTIONNELLE GEORG ETTL
dans la maison natale du PAPE BENEDIKT, Maktl, Allemagne
Dimanche, 23. Avril au 04. Octobre, 2023
Marktplatz 11 - 84533 Marktl/Inn Tel. +49 (0) 8678/747680 papstgeburtshaus@bistum-passau.de www.pabsthaus.eu
MARCHÉ DE NOËL D'ART "L'ART EST UN CADEAU"
Galerie im Park, Viersen, Allemagne
Dimanche, 04. Décembre, 2022, 11:00-18:00 heures
ATELIER ETTL EDITION PREMIÈRE
"ANNEAUX DE NOËL", Decembre 2022
L' ATELIER ETTL EXPOSE AU
SALMAGUNDI CLUB, Thomas Moran Gallery, New York
Vernissage Dimanche, 02. Octobre, 2022, 13:00-17:00 heures
GEORG ETTL arts graphiques
GALERIE REBECCA OHLER , Mönchengladbach, Allemagne
17.&18. Septembre, 2022
"L'ART CHERCHE SA PLACE", exposition au musée de Goch, Allemagne
Vernissage 28.08.2022 à 11:30 UHR
ATELIER ETTL expose à la VIERSEN OPEN ART, Viersen, Allemagne
Dimanche, 21.08.2022 10:00 -17:00 heures
Ouverture GALERIE REBECCA OHLER, Mönchengladbach, Allemagne
Samedi, 18.06.2022, 13:00 heures
ATELIER ETTL EDITION PREMIÈRE
LIEVRE EN LAITON, printemps 2022
Lièvre en laiton selon l'image de Georg Ettl. Photos: Rebecca Ohler
Laiton, poli, 12 x 8 x 3,5 cm.
Edition Atelier Ettl, limitée: 75 pièces.
Le lapin dans l'oeuvre de Georg Ettl
Déjà dans ses premières phases de création, Georg Ettl s'est inspiré du règle animal. Les premières oeuvres dans lesquelles apparaissent les silhouettes d'animaux ressemblant à des logos surgissent au milieu des années 1970. Au début Ettl s'est limité aux silhouettes de chevaux, de flamants roses et de marabouts, qui n'ont cessé d'apparaître dans son travail au fil des ans.
Ce n'est qu'en 1992, lors de la refonte de l'église "Heilig Geist" à Neuss en Allemagne, qu'Ettl a conçu d'autres silhouettes d'animaux, qu'il a peintes en grand nombre sur les murs de l'église dans le cadre des histoires de la bible.
On découvre le lièvre pour la première fois en 1996 sur le mur latéral droit de l'église, comme l'un des animaux qui entre en paire dans l'Arche de Noé.
En 2001 le lièvre réapparait. Cette fois il fait partie des grandes scènes sculpturales en bois lamellé de l'artiste dans "L'Arche de Noé", "La Ferme" et "Le Paradis".
Sur la nappe imprimée, qu'Ettl lance en 2002 sous le label Atelier Ettl en série limitée, le lapin est à nouveau présent lors de l'entrée dans l'Arche de Noé.
La même année le lièvre d'Ettl surgit à nouveau en forme d'une grande sculpture en acier.
Dans le cadre de l'exposition regionale d'horticulture au Château de Dyck à Jüchen, Allemagne en 2002 Ettl a été chargé de concevoir des sculptures pour un des jardins du château. Le lièvre faisait partie d'un group de 5 figurines, installées dans le jardin prévu à cet effet.
En fin de compte, on retrouve le lièvre dans les éditions en bois lamellé d'Ettl. D'abord en 2003 dans le petit paradis avec Adam et Eve à côté d'un guépard, et puis comme lièvre solitaire, qu'Ettl a ajouté aux éditions illimitées de figurines en bois lamellé du label l'Atelier Ettl.
A l'occasion de Pâques, l'Atelier Ettl lance une nouvelle version du lièvre Ettl. Cette fois sous la forme d'une figurine en laiton poli mesurant 12 x 8 x 35 cm. L'édition est limitée à 75 pièces.
Tous les lièvres sont numérotés, étiquetés et présentés dans une boite sur mesure avec le choix de silhouette du lièvre en doré, rose ou noir embellie sur le couvercle.
Au 31 mars 2022 Georg Ettl aurait fêté ses 82 ans. L' Atelier Ettl garde son oeuvre vivant.
40 ANS D'ART - GEORG ETTL À VIERSEN
Städtische Galerie im Park, Viersen, Allemagne
Vernissage le 12.12.2021, 11:00 heures
Fotos: Rebecca Oher
EXPOSITION DE NOEL AVEC OEUVRES DE L'ATELIER ETTL
Mönchengladbach, 20.11. 2021 de 13:00 à 17:00
ATELIER ETTL ÉDITION PREMIERE
ANGE HOMME & ANGE FEMME SANS ÉPÉE, 2021
Ange Homme et Ange Femme sans épée d'après l'image de Georg Ettl. Photos: Rebecca Oher
Acier non traité. Hauteur: 29,5cm
Première édition Atelier Ettl: Novembre 2021.
Il est prévu que les sculptures rouillent.
L'oeuvre originale est une sculpture en acier de 3 mètres de haut appartenant à un particulier.
"L'Art est éphémère" dit Ettl et a donc laissé une grande partie de ses sculptures en acier non traitées afin de les exposer au processus de rouille naturel.
LA FEMME FORTE - Edition spéciale 2021
Un projet caritatif de l'Atelier Ettl et du Zonta Club Viersen Area
La Femme Forte, 40 x 15 x 15 cm, Bois lamellé bouleau & peinture acrylique. Photo: Carlos Gomez Correia
GEORG ETTL "LA FEMME FORTE"
La première oeuvre de Georg Ettl, connue aujourd'hui sous le nom de "La Femme Forte", est une sculpture en acier de 7,30 mètres de haut, qui a été réalisée en 2005 selon le dessin de l'artiste et ensuite placée sur le parvis de la mairie de Viersen.
De plus, trois autres sculptures ont été réalisées en série à partir de la même image, mais dans une version très réduite. Les trois versions de 2,32 mètres de haut appartiennent à des particuliers.
Le titre original de ces sculptures était "Femme Avec Bras", qui au fil des années s'est changé de manière autonome en "La femme Forte" et s'est naturalisé ainsi.
Après la mort de l'artiste en 2014, le dessin d'une troisième version de "La Femme Forte" a été découvert. Cette fois, l'oeuvre devait été réalisée en bois lamellé et faire partie d'un nouvelle série de ces figurines bien connues de Georg Ettl appartenaient au label Atelier Ettl.
Le projet avait déjà atteint la version numérisée du dessin technique de l'artiste. En raison de sa grave maladie, Georg Ettl n'a pas pu poursuivre ce projet. C'est l'Atelier Ettl qui vient de l'achever à se place dans le cadre d'un projet caritatif en partenariat avec le Zonta Club Viersen Area.
Une édition limité de 150 figurines de "La Femme Forte" en bois lamellé et peint à la main, a été produite exclusivement pour le Zonta Club Viersen Area dans le cadre de la campagne "Orange your City" pour attirer l'attention sur les violences faites aux femmes. Les bénéfices des ventes seront destinés aux femmes en détresses.
Cette édition est en rupture de Stock aujourd'hui.
POP-UP GALERIE REBECCA OHLER - Düsseldorf, Allemagne
02. au 17. Juillet, 2021
EXHIBITION GALERIE GRISEBACH - Düsseldorf, Allemagne, 12.12.19 -21.02.20
Georg Ettl. Têtes. 1989. Sérigraphie sur papier. Différents formats
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ARTISSIMA - Torino, Italie, 1-3 Novembre
Exposant: JIRI SVESTKA GALLERY
Site: via Giacomo Mattè Trucco, 70 - Torino, Italia - "Corridor Noir", Stand n° 10
Anniversaire du Bauhaus à la Villa V à Viersen le 31.03.19 à 11:30
Vernissage "La Maison dans l'Oeuvre de Georg Ettl"
LA MAISON
Vernissage „ La Maison dans l'Oeuvre de Georg Ettl “
„Images simples d'un monde clair.“ Ainsi commence le texte de Julian Heynen dans le catalogue de Georg Ettl exposé au Kaiser Wilhelm Museum Krefeld, du 17.Avril au 29.Mai 1983. Près de 36 ans plus tard et 4 ans après la mort de Georg Ettl la VILLA V montre l'oeuvre de l'artiste de différentes phases créatives sur le thème de la maison.
„Nos idées sur le thème de la maison sont desordonnées; beaucoup de choses se rassemblent. dans le dictionnaire de Grimm, il a "le sens le plus courant d'un moyen de récupérer, d'un abri “.....Georg Ettl joue avec tout cela dans sa représentation de la maison“
Exhibition Musée de Deggendorf, 25.10.18 - 24.02.2019
Inauguration "Colonne avec Cheval", Mönchengladbach, Allemagne 02. September 2017
À gauche: Modèle pour un cheval monumental, 1982, bois peint, papier mâché doré et peint 66 cm de haut
Photo: Hadler/Stuhr
A droite: La sculpture après la conception de Georg Ettl est un hommage en mémoire des victimes de la Justice militaire nationalsocialiste.
Photo: Gerda Marie Voss
Nicht weit von einem Gräberfeld auf dem Hauptfriedhof, das an getötete Zwangsarbeiter erinnert, ragt ein Stahlpferd als Plastik in den Himmel. Es ist ein Mahnmal für die Opfer der NS-Justiz. Von Sigrid Blomen-Radermacher
Legionen von Reiterstandbildern stehen in den Städten und auf den Plätzen dieser Welt. Sie erinnern heroisch, unübersehbar und allzu oft unreflektiert an geschlagene Schlachten und denkwürdige Anführer. Am Samstag wurde nun ein "Reiterstandbild" der besonderen Art in einer festlichen und emotionalen Zeremonie vor großem Publikum der Öffentlichkeit übergeben. Es steht auf dem städtischen Hauptfriedhof - ein Reiterstandbild ohne Reiter und massivem Sockel. Ein Mahnmal. Gefertigt nach einem Entwurf des Künstlers Georg Ettl.
Oberbürgermeister Hans Wilhelm Reiners dankte dem in Viersen lebenden Architekten Professor Heinz Döhmen, 1927 geboren, der der Stadt Mönchengladbach das Denkmal geschenkt hat. Dieses Mahnmal, so erläuterte Reiners, sei den Opfern der nationalsozialistischen Militärjustiz gewidmet, einer Justiz, die diejenigen verfolgte, die sich
dem Wahnsinn des Krieges widersetzten. Diese Opfergruppe ins Bewusstsein zu holen, sei Idee des Mahnmals. Auch Mönchengladbacher Bürger seien Opfer der Justiz geworden, so Reiners.
Weit spannte er den Bogen des Gedenkens von den Opfern aus der Zeit des Zweiten Weltkrieges zu den Flüchtlingen unserer Zeit. Das Mahnmal sei eine symbolische Rehabilitierung der NS-Opfer, deren Verurteilungen erst vor 15 Jahren rechtlich aufgehoben wurde - eine unfassbare Vorstellung. Reiners drückte die Hoffnung aus, dass das Mahnmal von Ettl eine Diskussion über die Opfer und ihre Bedeutung für uns heute in Gang setzen könne und den Wunsch, dass Schüler es besuchen werden. Der Erinnerungskultur werde in Mönchengladbach eine neue Facette hinzugefügt.
Nicht weit vom Gräberfeld in Erinnerung an 90 getötete Zwangsarbeiter auf dem Hauptfriedhof ragt hoch in den Himmel ein Stahlpferd, ein rötliches, flächiges Pferd - mehr als eine dreidimensionale Plastik. Ohne Reiter scheint es über den Wipfeln der Bäume in Richtung Ausgang zu fliehen. Das Pferd ist in Ettls typischem Stil gearbeitet: sehr minimalistisch, zurückgenommen auf wesentliche Merkmale.
Unter ihm ein goldenes, vegetabiles Kapitell und weit unter ihm am Boden: ein Steinhaufen als eine besondere Form des Sockels. Und davor: eine Platte mit Worten von Bertolt Brecht aus der "Deutschen Kriegsfibel": "So haben wir ihn an die Wand gestellt, Mensch unsresgleichen, einer Mutter Sohn. Ihn umzubringen und damit die Welt es wisse, machten wir ein Bild danach."
Heinz Döhmen erinnerte in einer bewegenden Ansprache an eigene Kriegserlebnisse, an erlittenes Unrecht, er berichtete von seiner Flucht und der ständigen Angst vor Entdeckung und Verhaftung. Er erlebte zwar nicht die eigene Verurteilung, aber die seines Schuldirektors, des Kaplans, von Freunden. Er erlebte den Brand der Synagoge in Mönchengladbach. Seine Vergangenheit, so Döhmen, finde ihren Sinn darin, das, was ihm möglich sei, zu tun, um an das Unrecht zu erinnern. Das Pferd, so Döhmen, sei auch Symbol für die in sinnlosen Kriegen abgeschlachteten Tiere, der Steinhaufen lasse an das Grab für den Ungeist der Richter der nationalsozialistischen Zeit denken.
Die Plastik ist nach einem Entwurf seines Freundes, des 2014 verstorbenen Künstlers Georg Ettl gearbeitet worden (Ausführung durch Arpad Safranek, Viersen). Dieser wird sowohl als Mönchengladbacher Künstler (er war einer der ersten, die ein Atelier im Künstlerhaus Steinmetzstraße bezogen) als auch als Viersener Künstler betrachtet, wo er Jahrzehnte als Lehrer und Künstler tätig war und lebte. In beiden Städten hat er deutliche Spuren seiner Kunst in Form von Plastiken und Wandgemälden hinterlassen.
Quelle: RP
Ausstellung Jiri Svestka Gallery, Berlin, 17.09. - 05.11. 2016
AUSSTELLUNG VERLÄNGERT BIS ZUM 17. DEZEMBER 2016
"Jiri Svestka Gallery, a small gallery hidden on the 3rd floor in front of the Blain|Southern Gallery, is a fine gem. Since the 16th of September in the context of the Berlin Art Week, they opened their doors to the exhibition of Georg Ettl, a German artist born on 1940 who migrated to the US to return during the ’70 and whose artwork is very difficult to categorize due to his versatility.
Every time I have visited any of Jiri Svestka Gallery exhibitions I have been positively surprised. That is why, when I am around the area I go for a peak and treat myself with an art surprise. This time, despite the promotion picture of Georg Ettl’s work not being very promising, I still decided to give it a try.
The surprise was major. I was expecting a whole bunch of uninteresting looking cement blocks, but on the contrary, I found in front of me the graceful works of Georg Ettl, forming a harmonious contrast in the shape of an exhibition; almost like the feeling of having a exquisitily prepared dish with a delicious umami taste that it involved all of my senses.
I saw it but I felt it.
It was cold but warm, hard but soft, achromatic but colorful, ephemeral but enduring, uniform but contrasted, fragile but indestructible and opaque but translucent.
It felt like it was talking about life itself.
I invite you to visit this exhibition and experience yourself the rollercoaster of contrasts and the subtlety of the works. It’s a good way to awaken your senses in these grey days of autumn."
by Julia Mari Bernhaus
ARTCONNECT MAGAZINE